[musique] Dream Theater, metal progressif
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[musique] Dream Theater, metal progressif
IOEN |
06/11/2003 1:32
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Elfe Groupe : Modérateurs Messages : 1,451 Inscrit le : 16/05/2002 23:00 Lieu : france.gif Membre no. 22 |
Le groupe voit le jour en Septembre 1985, dans la Berklee School of Music.
John Petrucci (guitare), Mike Portnoy (batterie) et John Myung (basse) sont trois chevelus, fans de Heavy Metal. Ils recrutent Kevin Moore (clavier), un ami de Myung et Petrucci, la même année. Le groupe est dès lors baptisé Majesty. Chris Collins est choisi pour chanter sur leur première démo, éponyme. Plus tard, le groupe doit être rebaptisé, car un groupe de Jazz s'appelle déjà Majesty. Le père de Mike Portnoy trouve le nom Dream Theater, qui est en fait le nom d'un cinéma en Californie. Après éviction de Chris Collins, le quatuor recrute Charlie Dominici pour le remplacer, en Octobre 1987. C'est alors qu'ils sortent leur premier album : When Dream and Day Unite : Tracklisting : 1. Fortune In Lies, A 2. Status Seeker 3. Ytse Jam 4. Killing Hand, The 5. Light Fuse And Get Away 6. Afterlife 7. Ones Who Help To Set The Sun, The 8. Only A Matter Of Time N'ayant jamais entendu cet album, je ne ferai aucun commentaire. La presse a beaucoup aimé When Dream and Day Unite, cependant le groupe et son label ayant peu de moyens, très peu de promotion sera faite, et le succès de cet album à l'époque a été assez moyen. les 4 membres originels décident de remercier Charlie Dominici, un peu limité techniquement. Ils joueront alors pendant 2 ans sans chanteur, dans différents clubs de leur région, tout en faisant passer des auditions. Un canadien, Kevin LaBrie, se fait embaucher à peine l'audition passée, faisant l'unanimité. Il est rebaptisé James (son 2e prénom) pour éviter d'avoir deux John et deux Kevin dans le groupe. Le groupe enregistre alors son 2e album, qui sortira en Juillet 1992 : Images and Words : Tracklisting : 1. Pull Me Under 2. Another Day 3. Take The Time 4. Surrounded 5. Metropolis - Part I "The Miracle And The Sleeper" 6. Under A Glass Moon 7. Wait For Sleep 8. Learning To Live Cet album est, pour beaucoup, LE meilleur album de metal progressif. Pull Me Under est un vrai tube, ouvrant l'album de façon calme pendant les premières secondes, puis plus musclé par la suite. Un titre mid-tempo, presque toujours joué dans les concerts de DT, avec un refrain repris en choeur par tout le monde. Le morceau termine très brutalement, à se demander si le CD est pas rayé . Another Day, un autre tube (il n'y a quasiment que ça sur I&W), qui a la particularité de contenir des parties de saxophone. Un titre plutôt calme, envoûtant. La voix de James y est très belle, douce. Take The Time ensuite. ATTENTION TUBE (ouais je sais je me répète). Une intro qui fait frémir : ça va être heavy, on le sent. L'intro passée, un riff monstrueux débute, ça fait remuer la chouffüre. La voix de James est superbement maîtrisée ! Puis après le second passage du refrain, un passage calme où James chante sur fond de piano... Et c'est reparti pour un solo furieux guitare/clavier de plusieurs minutes. On se calme, Surrounded est une ballade. En tous cas elle commence telle quelle. Après un passage chanté et un superbe solo de guitare, la chanson commence réellement. Pas vraiment violemment, mais on peut plus vraiment appeler ça une ballade. Le morceau reste très beau du début à la fin, se terminant aussi calmement qu'il a commencé. METROPOLIS PT.1 "The Miracle and The Sleeper est LE morceau central, la pièce maîtresse de l'album. Peut-être même de toute la discographie de Dream Theater. Il n'y a pas plus progressif. C'est simple, chaque fois que j'entends l'intro, je suis pris de frissons. Cette chanson montre toute la technicité des musiciens de Dream Theater, tout en créant une émotion particulière. Toute la partie instrumentale du milieu est à pleurer tant chaque instrument est maîtrisé à la perfection. Pour la petite histoire, ce morceau (ses paroles, ses lignes de chants, de guitare, de batterie etc...) servira de base pour un album qui viendra plus tard, en 1999 : Metropolis pt2 : Scenes From a Memory. Under a Glass Moon... argh, difficile de passer après Metropolis pt1. Ce morceau ne m'a jamais accroché, je le zappe tout le temps. Wait For Sleep est la vraie ballade de l'album. Ecrite par Kevin Moore, elle ne comporte que du piano/clavier et du chant. Superbe. Learning to Live enfin, clôt l'album, de très belle façon. Un morceau long (le plus long de l'album, 11mn et des brouettes) comportant de nombreuses parties, douces, ou psychédéliques... Un régal pour les oreilles. Après cet album, les musiciens de Dream Theater sont reconnus par "les gens du métier" comme on dit. John Petrucci et Mike Portnoy sont respectivement désignés meilleur guitariste et meilleur batteur par plusieurs magazines. Le groupe sort un live intitulé Live at the Marquee en 1993, à partir d'un concert enregistré à Paris à la Locomotive. Vient alors le moment de sortir un troisième album : Awake : Tracklisting 1. 6:00 2. Caught In A Web 3. Innocence Faded A Mind Beside Itself: 4. Erotomania (instrumental) 5. Voices 6. The Silent Man 7. The Mirror 8. Lie 9. Lifting Shadows Off A Dream 10. Scarred 11. Space-Dye Vest Awake est l'album le plus sombre du groupe. En effet, durant son enregistrement, Kevin Moore est très absent, il veut quitter le groupe, son orientation musicale ne collant plus assez avec celle de Dream Theater. L'album commence fort avec 6.00, c'est heavy et prog, très accrocheur. On enchaine avec Caught in a Web, dans la même veine (la première fois que j'ai entendu l'album, j'avais pas fait attention que ça avait changé de chanson ) Innocence Faded est un morceau un peu plus calme, quoique encore pas mal heavy, surtout dans sa partie instrumentale qui, on peut le dire, part un peu en couille (mais tout ça est maîtrisé bien-sûr ). Ensuite vient la trilogie A Mind Behind Itself. D'abord Erotomania, un instrumental qui commence très heavy, avec de belles envolées de guitare et de clavier vers le milieu du morceau. Ensuite on se calme avec Voices, morceau très euh... strange, tantôt rapide et heavy, tantôt très calme et envoutant. Enfin, la ballade The Silent Man, à la guitare accoustique. Le refrain rappelle la ligne de guitare d'Erotomania. On se rend aussi compte que John Petrucci a une très belle voix (pour les backing vocals) et accompagne superbement James LaBrie. Un morceau vraiment magnifique, sans prétention. The Mirror remet le ton. L'album est HEAVY bordel. Un gros riff, bien gras débute le morceau, qui, comme d'habitude, a pas mal de passages différents, avec des acalmies et des tempêtes. Lie est lui aussi pas mal heavy. Pas de clavier dans ce morceau, des lignes de chant presque rappées de James durant les couplets. Un de mes morceaux préférés sur Awake, et assez atypique pour du Dream Theater à cette époque. Lifting Shadows Off a Dream. Attention chef d'oeuvre. Un morceau presque indescriptible tant il est beau. A pleurer. Scarred est un peu le morceau le plus "fourre tout" de l'album. C'est d'ailleurs le plus long. Il commence calmement, comporte des parties instrus très psychés (à la Metropolis pt1). Pour le décrire correctement, ce serait aussi long que la chronique complète de l'album. Très bon morceau. Space Dye Vest. Re chef d'oeuvre. Un morceau très "gênant", il a le pouvoir de mettre mal à l'aise l'auditeur. Une intro superbe jouée au piano, puis ensuite le couple piano/guitare accoustique, avec un chant qui met vraiment mal à l'aise. Le morceau s'envole au fur et à mesure, il devient carrément magnifique vers le milieu... personnellement il me met les larmes aux yeux presque à chaque fois. Un vrai bijou. Le départ de Kevin Moore est officiel. Le groupe part donc à la recherche d'un nouveau claviériste. Pour les premiers concerts de la tournée Awake, ils engagent alors Jordan Rudess, puis Derek Sherinian qui vient lui aussi de l'école Berklee. Sherinian deviendra membre officiel du groupe à la fin de la tournée. Lors d'un concert dans un club londonien, le groupe se fait plaisir en interprétant plusieurs reprises sous forme de medleys. Le concert est enregistré, et le groupe en profite pour jouer le morceau le plus long qu'ils aient composé jusqu'ici : A Change of Seasons. Ils en profitent pour sortir un mini-album, comprenant ce morceau ainsi que les reprises en question. A Change of Seasons : Tracklisting : 1. A Change Of Seasons I/ The Crimson Sunrise II/ Innocence III/ Carpe Diem IV/ The Darkest of Winters V/ Another World VI/ The Inevitable Summer VII/ The Crimson Sunset Live at Ronnie Scott's Jazz Club (London) : 2. Funeral For A Friend Love Lies Bleeding 3. Perfect Strangers 4. The Rover Achilles Last Stand The Song Remains The Same 5. The Big Medley I - In The Flesh? II - Carry On Wayward Son III - Bohemian Rhapsody IV - Lovin', Touchin', Squeezin' V - Cruise Control VI - Turn It On Again Je passe vite fait pour cette chronique. Le morceau A Change of Seasons est donc composé de 7 parties. Il dure 25mn et est assez dur à décrire précisément, parfois calme, rapide, heavy, etc... Les autres morceaux sont des reprises, pas forcément très interessantes mais agréables à entendre. La suite de l'histoire et de la discographie viendront plus tard Les sources pour la biographie viennent de www.dreamtheater-france.com (plus détaillée là bas). Les chroniques d'albums sont très mauvaises, donc sont de moi (ahem...). -------------------- I am everything
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15/11/2003 1:06
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#2
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Voici ma chronique du nouvel album :
Train of Thought : Tracklisting : 1. As I Am 2. This Dying Soul 3. Endless Sacrifice 4. Honor Thy Father 5. Vacant 6. Stream Of Consciousness 7. In The Name Of God As I Am. 6 Degrees of Inner Turbulence commençait par la dernière note de Scenes From a Memory, formant ainsi un lien entre les 2 albums. Il est de même pour ce Train of Thought, qui commence par la fin de 6 Degrees. Ceci dit l'enchainement n'est pas très original. Le morceau en lui-même débute calmement, basse et guitare seules. Puis premier coup de semonce par Mike, on sent la pression monter. Une intro à la The Glass Prison, en somme. Le riff s'installe d'abord lentement, puis le morceau débute enfin en mid-tempo. Un riff assez lourd rappelant pas mal le Metallica période Load/ReLoad (Devil's Dance). Le chant de James est agressif, plus qu'à l'accoutumée, plus "metal". La chanson est assez banale, mais accrocheuse. L'album débute donc catchy, mais au final As I Am est le morceau que j'aime le moins sur l'album. A noter qu'il n'y a presque aucun clavier dessus. This Dying Soul.Ca démarre fort, double pédale d'entrée de jeu. Ouah mais c'est Dream Theater ça ? Riff très heavy, entrainant, enchainé sur un solo de guitare endiablé... Puis d'un coup le morceau prend une sonorité orientale, les claviers font alors leur apparition au premier plan, duellisant (ça se dit ?) avec la guitare. La basse est aussi très présente, ça fait plaisir. Après l'intro de 2mn, tout se calme, le chant de James se fait très doux, puis quelques effets radio/saturé sur la voix, et le riff oriental reprend sur le chant. Un refrain monstrueux auquel j'ai accroché dès la première écoute (this dying souuuuuuuuuuullllllll !!!!!!!!!!! THIS DYING SOUUUUUL rah j'adore bordel). Puis après le refrain le morceau s'accélère, l'effet radio reprend, pour un couplet rappé ... Etrange ? absolument, mais efficace. On n'a jamais entendu James comme ça. Autant dire qu'à ce moment précis, on a déjà oublié qu'il y avait un premier morceau dans l'album. Après le 2e passage du refrain, le clavier devient piano, donnant une touche raffinée sur un riff gras. Puis on entend le riff de The Glass Prison (sur 6DOIT). Un rapide coup d'oeil au livret, et on remarque que This Dying Soul est en fait la suite de The Glass Prison. Aussi ce riff est une référence directe au morceau originel. Mais qu'entends-je alors ? Blackened de Metallica !! Un clin d'oeil de Dream Theater aux 4 horsemen, le chant à ce moment de la chanson est le même que dans Blackened (alors que les paroles font références à The Glass Prison). Toute la fin du morceau est très proche de The Glass Prison, mais en beaucoup plus progressif, le tout très rapide. Ca rappelle un peu Beyond This Life, sur Scenes. Le morceau se termine de façon très brutale. Endless Sacrifice. Le morceau commence en acoustique, une petite acalmie après les 2 tueries précédentes. Le chant ressemble à Disappear sur 6DOIT. A 2mn, le morceau s'énerve, le refrain débute alors. TRY TO STAY ALIVE !! super catchy, la fin du refrain me transcende à chaque écoute. On croirait la fin de Finally Free, la batterie est superbe à ce moment. Puis le couplet reprend, acoustique comme au début, avec un piano en plus dans l'accompagnement, puis la guitare electrique. Après le deuxième refrain, un nouveau riff commence, très heavy, accompagné de claviers "à la Rudess", c'est à dire un peu barrés comme dans The Dance of Eternity. ce passage instrumental est à écouter attentivement, il fourmille de belles idées. Le clavier part littéralement en couille à certains passages, dont un en particulier où on se croirait en plein cartoon de Beep Beep et le Coyote. Le morceau redevient sérieux, les soli de clavier et de guitare se succèdent, tous très technique. Ils plairont à ceux qui ont aimé Images and Words et Scenes From a Memory. Le chant reprend (tu t'étais endormi James ?) pour clore le morceau, qui est mon préféré de l'album. Honor Thy Father. Ca commence très rapide avec la batterie et un riff bien gras. On ne nous laisse aucun répit sur cet album ou quoi ??? En effet, le groupe a exprimé son désir de devenir plus metal qu'avant. Et ils le font de belle manière. La basse est très belle et très présente sur ce morceau, le chant de James est doublé (par Mike probablement) sur les couplets. Par moment le chant est rappé, la voix de James n'a jamais été aussi agressive. Don't cross the crooked step ! après cette phrase, le morceau change. Le riff s'alourdit encore, on entend plusieurs personnes parler entre elles (comme un extrait de film) mais j'ai pas réussi à reconnaitre d'où ça venait. Puis des choeurs font leur apparition, peut-être un peu trop sous-mixés, il faut tendre l'oreille pour les entendre. Ensuite une grosse partie instru, avec des claviers très présents. Le chant reprend au refrain, toujours très inhabituel de la part de James, qui a quand-même une formation classique à la base ! fin du morceau toujours sur le même riff. Vacant. UN MORCEAU CALME !!! On en avait bien besoin. Cette ballade est jouée au piano et au violoncelle. Elle rappelle beaucoup Disappear, le violoncelle en plus, qui donne une dimension tragique à la chanson. C'est beau mais trop court : 3mn seulement. Ca permet malgré tout de digérer les 4 premiers morceaux et de se préparer à la suite. "Am I losing you ?" Stream Of Consciousness. Un instrumental. La guitare reprend le thème de Vacant, c'est vraiment beau. La batterie et le clavier apparaissent, l'ensemble jouant le thème de Vacant à plusieurs reprises avec des variations à chaque fois, j'adooore ! Chaque instrument est mis en valeur dans ce morceau, qui prend pas mal de directions différentes. On entend de l'orientalisation (à la Home), la batterie est spectaculaire, et claviers et guitares se disputent le titre de meilleur solo de l'album. Tantôt très rapide limite "branlette" et tantôt bourrés de feeling, ils sont dans la majorité très agréables et s'intègrent superbement au morceau. La structure générale du morceau (hors intro) rappelle beaucoup Orion de Metallica, un instrumental aussi. Pour la petite histoire, lors de la conception de Train of Thought, Mike Portnoy a beaucoup écouté de vieux albums de Metallica (Master of Puppets/And Justice for All) et Iron Maiden (Number of the Beast), et a remarqué que pour ces classiques du metal, il y a une règle presque immuable. Peu de morceaux (7-8) dont un instrumental. C'est pourquoi Train of Thought comporte 7 morceaux dont cet instru. Si je vous raconte ça, c'est parce que je fais la chronique tout en écoutant et qu'on n'a pas toujours grand chose à dire sur un instrumental de 11 minutes . Après être parti dans de nombreuses directions, la basse de Myung reprend le thème de Vacant, suivi par la guitare. De la même façon qu'au début, ce thème est décliné plusieurs fois, au niveau de la rythmique et des harmonies, tout en restant "fredonnable". Une grande leçon de musique, à chaque recommencement on est transcendé un peu plus. J'avoue que de nombreux frissons me parcourent à l'heure où j'écris, la fin de SoC étant tout bonnement somptueuse... Vive l'objectivité . Pour en rester à Metallica (quel hommage, cet album), la fin de SoC n'est pas sans rappeler celle de Sanitarium, un petit bonus acoustique à part. In The Name of God. La pièce maîtresse de Train of Thought a un départ acoustique, comme souvent sur cet album. Le riff commence alors, assez arabisant dans l'ensemble. Je ne sais pas si c'est en rapport avec le texte du morceau (qui traite des crimes commis au nom de Dieu, et principalement ceux du 11 Septembre. Dream Theater étant un groupe New-Yorkais, cet évènement les a beaucoup touché) mais c'est agréable à l'écoute Le refrain est à reprendre en choeur, on s'imagine le faire en concert. A noter que le chant de James sur ce morceau renoue un peu avec le style du passé. On le reconnait enfin ! Commence alors un duo basse/batterie. Puis le piano s'y greffe, et James sussure alors qu'il gueulait juste avant. Le riff oriental reprend alors que le chant reprend de sa grandeur peu à peu. Un petit break à la albator (j'ai rien trouvé d'autre pour décrire ces espèces de sons de lasers) de 2-3 secondes, le morceau reprend alors où il en était. Le solo de Petrucci est très réussi et s'intègre vraiment bien au morceau. Un passage instru rappelant BEAUCOUP Home débute alors. La basse a un groove vraiment génial, alors que le clavier et la guitare se suivent à fond la caisse (mais comment ils font ?!!). Le passage instru se termine d'une façon qui me rappelle BEAUCOUP (je me répète) Losing Time/Grand Finale, dans 6 Degrees, puis le chant reprend, toujours aussi magistral. C'est simple, j'ai jamais autant aimé James LaBrie que sur cet album. On termine sur des "woh oh oh" alors que des sons de cloches accompagnent le reste des instrus, le piano faisant son apparition dans le mix, tout doucement, mais magnifiquement. Les autres instruments finissent par partir en fade out, leeeeentement (ça prend 2mn quand même), pour ne plus laisser que le piano, qui clôt l'album de façon surprenante. En résumé un album majeur dans la discographie de Dream Theater, alors que 6 Degrees of Inner Turbulence en avait rebuté quelques uns. C'est l'album le plus metal du groupe, mais le côté progressif est encore très présent. Bref, je vous invite à suivre le chemin de la pensée du théâtre des rêves (ça fait style en français). Bon voilà , je sais que mon style d'écriture peut prêter à l'endormissement, j'espère quand-même avoir donné envie à ceux qui connaissaient pas. Et j'espère que les autres sont d'accord avec mes différentes chroniques. Si vous voulez je pourrai recommencer l'opération avec certains de mes autres groupes fétiches. -------------------- I am everything
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