[fs2004] Paris-bergen Feat. Airbus A320
Bienvenue invité ( Connexion | Inscription )
[fs2004] Paris-bergen Feat. Airbus A320
Peter Pan |
![]()
Message
#1
|
![]() Administrateur ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Admin Messages : 3,026 Inscrit le : 16/05/2002 23:00 Lieu : Paris Membre no. 1 ![]() |
Bon, depuis le temps que
![]() Cliquez sur les images pour avoir la version 1280x960... L'appareil était stationné à la porte Z1 de l'Aérogare 1, ici il est en phase de taxi à destination de la piste 08L. La file d'attente à l'entrée de la piste 08L. Un avion d'Emirates à l'atterrissage sur la piste 08R adjacente. Voilà l'appareil aligné sur la piste et paré au décollage. Décollage ! Le pilote (c'est moi !) rentre le train d'atterrissage. Vue d'ensemble de Charles de Gaulle, l'Aérogare 1 d'où nous venons est la partie vaguement circulaire en haut de l'image. Nous croisons ici un autre avion au dessus de Compiègne. Au dessus des étangs bordant la Somme. Passage de la frontière belge au dessus de Tournai. Virage sur l'aile gauche au dessus de Gand, toujours en Belgique. Nous quittons la Belgique non loin du port de Zeebrugge. Nous remontons ensuite la côte des Pays Bas. Nous laissons derrière nous les rivages enfumés (normal) des Pays Bas avant de nous engager dans la traversée de la Mer du Nord. Gros plan sur le navion. Sous les nuages la Mer du Nord (si si). Après une traversée sans histoire pendant laquelle les passagers ont pu admirer les orages, les côtes du Sud (tout est relatif) de la Norvège apparaissent dans la brume. Nous survolons Haugesund, célèbre pour ses, euh, mm, nan pour rien en fait. Les passagers rigolaient bien quand nous étions au dessus des orages mais comme toujours à l'approche de Bergen une belle tempête nous attendait, ça a secoué sévère ![]() La piste apparaît enfin, perdue dans le brouillard. Atterrissage ![]() Les inverseurs de poussée en action. Et arrivée à la porte 29 après deux heures de vol. Et ouala c'est tout ![]() |
![]() ![]() ![]() |
piotr |
![]()
Message
#2
|
![]() Sale con ![]() ![]() ![]() ![]() Groupe : Modérateurs Messages : 2,054 Inscrit le : 16/05/2002 23:00 Lieu : Donnery (F-45450) Membre no. 18 ![]() |
Darko : ah ben moi aussi je suis un grand fan du Concorde. Phoenix Simulation a sorti un pack Concorde extrêmement bien ficelé, superbement détaillé, et avec surtout un panneau d'ingénieur de vol totalement fonctionnel. On peut donc s'adonner aux joies des transferts de pétrole entre réservoirs pour équilibrer le centre de gravité ainsi que le système de conditionnement d'air. Je t'avouerai que c'est pas ce que je trouve de plus passionnant dans le vol, et heureusement qu'il y a un virtual flight engineer pour régler tous ces paramètres et permet de se concentrer sur le vol.
Avec un Concorde réaliste (du moins je suppose que celui de Phoenix Sim doit l'être), mine de rien c'est pas facile du tout de péter la barrière du Mach 2. Disons que contrairement à un airliner classique, il ne suffit pas de monter, prendre de la vitesse et taper Mach 2. C'est plus compliqué que ça. En fait il faut décomposer la montée en plusieurs paliers, en commençant par viser FL260 environ en stabilisant à une vitesse supérieure à 250 kts. Normalement et grâce à l'autothrottle il devrait même pouvoir continuer à prendre de la vitesse. Une fois arrivé à FL290, il faut viser une vitesse de 395/400 kts et si possible passer tout juste Mach 1 ; l'overspeed limite reste tout juste à 403 kts environ. Une fois arrivé à Mach 1 (quand on passe le mur du son l'indicateur de vitesse ascensionnelle pète un plomb comme le vrai en indiquant une forte montée puis une forte descente alors que l'avion ne bouge pas !) on commence la deuxième partie de la montée en visant FL550 tout en gardant l'autothrottle sur 400 kts. En gardant l'IAS constante, le nombre de Mach augmente au fur et à mesure que l'avion monte. C'est seulement une fois arrivé et stabilisé à FL500 (aux alentours de Mach 1,5 environ) qu'on vole en palier et qu'on peut atteindre Mach 2,02. On a plus l'impressoin de piloter une fusée qu'un avion de ligne. C'est pas que ses performances de montée ni son accélération soient si exceptionnelles, c'est plutôt de voir comment toute cette usine permet d'y arriver avec des transferts de pétrole dans l'avion, des clapets qui se ferment, et la température extérieure qui atteint à peu près + 125 °C sur le nez de l'avion, et qu'il peut le maintenir pendant près de 3 heures de vol. Quand je vois la chiotte que c'est sur un simulateur je me dis que ceux qui pilotaient un vrai devaient être des surhommes. Et je parle même pas de la vitesse d'atterrissage de 200 kts alors qu'un avion de ligne standard atterrit à une vitesse d'environ 145 kts dans des conditions nettement plus favorables ! -------------------- |
![]() ![]() ![]() |
Version bas débit | Nous sommes le : : 09/05/2025 13:21 |