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[RED-HOT]

Les vaccins en question

L’étau se resserre, de soupçons on passe à certitudes suite aux travaux du Dr Andrew Wakefield, gastro-entérologue, directeur d’un groupe de recherche au Royal Free Hospital de l’Ecole de médecine de Londres, autorité internationale pour les maladies intestinales induites par des médicaments. Depuis des années, il travaille avec son équipe sur les liens de cause à effet entre le virus de la rougeole contenu dans le vaccin ROR, l’autisme et les désordres intestinaux des enfants.
Ses conclusions, trop tranchées pour le lobby vaccinal, lui ont valu simplement… d’être viré !!! On compte aujourd’hui 1 cas sur 500 enfants !!! On soupçonne même 40 cas pour 10000 soit 1 cas sur 250… Des spécialistes en allergie, en immunologie, en neurologie ainsi qu’en biochimie constatent que l’autisme est de plus en plus répandu. On a découvert que l’affaiblissement du système immunitaire constituait réellement un syndrome chez les personnes autistes.
Plus d’un tiers des enfants atteints semblent présenter un nombre réduit de lymphocytes T CD4 et T CD8. Leur organisme peut ne pas être en mesure de fabriquer les anticorps nécessaires pour combattre les virus injectés par les vaccins. On possède donc aujourd’hui suffisamment de preuves pour suggérer que l’autisme devrait être considéré comme un trouble neuro-immunologique.
Il semble donc de plus en plus évident qu’il faille associer l’autisme régressif au vaccin contre la rougeole, la rubéole et les oreillons (ROR).
L’autisme est une maladie auto-immune d’origine vaccinale. L’autisme a été multiplié par trente, entre 1978 et 1999, aux Etats-Unis et à Londres. Cela correspond aux campagnes de vaccination (ROR) dans ces deux pays. Le hasard n’existe pas. L’autisme débute, avant trois ans, par un retard ou une absence totale de développement du langage parlé avec souvent des mouvements répétitifs. L’enfant présente une soif excessive, des troubles intestinaux (hyperplasie iléo-colique lymphoïde nodulaire et colite), une endance à l’automutilation et, très souvent, un terrain atopique et une fragilité des voies respiratoires, ce qui nous situe dans le terrain tuberculinique.
Le ROR est à virus vivants
Rappelons que les trois vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont à virus vivants, atténués mais vivants ! Rappelons aussi que la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont interdit le ROR sur leur territoire, depuis une dizaine d’années, après avoir constaté environ trois cents cas de méningites.
La France a poursuivi sa politique vaccinale, en prétendant qu’il n’y avait pas de problème, que le vaccin était fiable. Discrètement, il y a trois ou cinq ans, le ROR a été retiré du marché, après avoir remplacé la partie dangereuse (oreillons) par une nouvelle souche contre ces oreillons. Le vaccin actuel s’appelle ROR VAX.
La vaccination intensive des enfants est à l’origine de l’augmentation des cas d’autisme. Certains scientifiques prétendent que la pollution et les pesticides peuvent être responsables, mais nombre de parents d’enfants autistes sont persuadés que certains cas relèvent essentiellement de la vaccination intensive des enfants, et particulièrement du vaccin antihépatite B ou des vaccins combinés tel le ROR. Aux usa, les autorités sanitaires californiennes ont constaté 273% de hausse de cas d’autisme en 10 ans !!!
En 1965, des parents avaient déjà constaté l’apparition de l’autisme chez leur enfant après l’injection du triple vaccin diphtérie - coqueluche - tétanos. Lorsqu’un autre triple vaccin fut introduit en 1980, le ROR, “les rapports alarmants de parents augmentèrent de façon très significative� (Los Angeles Time, 26 avril 2000).
La société d’avocats Dawbarns, de Norfolk, en Grande-Bretagne, a pris en main plus de 600 cas de complications survenues après le vaccin ROR. Parmi ces complications, les dossiers, publiés le 3 juin 1997 et mis à jour
régulièrement, font état de 287 cas d’autisme.
Aux Etats-Unis, la désinformation est à l’oeuvre tout autant qu’en France.
Le Dr Samuel Katz, de la Duke University, pourtant ardent promoteur de la politique vaccinale dans son pays, conseiller de la Immunization Action Coalition, avoue prudemment : “il y a de nombreuses données qu’on ignore sur les vaccins�.
Le Dr Katz codirige un groupe “d’information� mais surtout de propagande, appelé Vaccine Initiative, qui reçoit des fonds de six fabricants de vaccins, et que la Immunization Action Coalition est sponsorisée par
plusieurs laboratoires tels SmithKline Beecham, Merck, Connaugh-Pasteur Mérieux et Wyeth-Lederle.
Le 14 octobre 1999 dans ABC News, le journaliste médical Nicholas Regush notait : “J’en déduis que tout cela n’est pas très beau et ressemble plus à la politique qu’à la science.�
“J’appelle cela la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les
fonctions du système immunitaire frise la criminalité.�
Cette relation autisme-vaccin démontre à la perfection l’incapacité de la plupart des médecins, spécialistes ou généralistes, à imaginer la possibilité d’un lien entre vaccination et accident post-vaccinal.
Conclusion : Ignorance ? Consignes ? Conformisme ?
Quand cessera « le sacrifice des innocents » ?
Source…

[piotr]

Quel tissu de foutaises ... Et en plus on a même pas la source exacte de ce texte !

[rikausse]

En médecine, il y a toujours eu des sujets épineux tels que la vaccination et l'homéopathie mais là je trouve qu'on pousse le bouchon un peu trop loin...

[Rabban]

je n'avais jamais entendu ce genre de choses concernant l'autisme, mais j'ai souvent entendu dire (notamment par quelques médecins) que la survaccination pouvait augmenter sensiblement le risque d'allergies.

étant donné la complexité du domaine et n'étant pas spécialiste, je ne peux pas me permettre de rejetter en bloc ce genre de choses mais ça me parait douteux.

[Darhf]

pfiou

ETA:

Bon eh bien, élargissons le spectre et dissipons la rumeur.

Mr Adrew Wakefield a mené son enquête auprès de 12 (!) enfants.
http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3513365.stm

Le journal qui l'a publié s'en excuse, et le panel d'étude s'est rétracté.
http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3508167.stm
http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3530551.stm

Dr Horton said: "There were fatal conflicts of interest in this paper.

"In my view, if we had known the conflict of interest Dr Wakefield had in this work I think that would have strongly affected the peer reviewers about the credibility of this work and in my judgement it would have been rejected."

He said: "As the father of a three-year-old who has had MMR, I regret hugely the adverse impact this paper has had.

Oh ! Un conflit d'interêt ! Où ils sont les méchants lobbies là ?


Et les autres études alors ?

A UK study of more than 5,000 children has ruled out any link between the MMR vaccine and autism, researchers say.
(...)
The Danish research, which examined the medical records of more than 500,000 children born over eight years, concluded there was no link between children given MMR and the onset of autism.
(...)

http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3640898.stm


Quand aux parents qui "constatent" :

The scare over MMR has been partly driven by the fact that some parents of autistic children recall that the symptoms of their child's disorder emerged shortly after being given the first MMR jab at approximately 14 months.

Autism experts say that many cases of the disorder do emerge at this age - so it is unsurprising that in some cases, the timing of the two events appears connected.

http://news.bbc.co.uk/1/hi/health/3643676.stm

Voila. Case closed.

Ce message a été modifié par Darhf - 30/09/2004 11:46.

[Ryle]

Mr Adrew Wakefield a mené son enquête auprès de 12 (!) enfants.

[PoP]

La taille de l'échantillon n'a, d'un point de vue purement théorique des statistiques, aucune importance.
Celà dit, là, c'est quand même un peu de mauvaise foie, heu...foi. C'est à ce demander comment une publi qui se base sur des chiffres comme ça peut être validée...

[rikausse]

J'abonde dans ton sens PoP... Une étude scientifique, et encore plus médicale, doit avoir un nombre minimal de cas d'études pour être validée. C'est d'ailleurs décrit très précisément dans les protocoles de validation.

[Darhf]

Notons au passage la parfaite synchronisation de la présence de ce message avec la plainte déposé contre les ministres de la santé au sujet du vaccin de l'hépatite B.

Ce que je pense aussi, en lisant ceci, c'est que la recherche médicale publique est fort utile. Si on devait en être à opposer les résultats de l'étude de Glaxxo-truc à celle financée par "l'association-des-gens-qui-suspectent-l-industrie-medicale-d-etre-a-l-origine-de-toutes-leurs-problemes" on sera mal barré.

[PoP]

Tout à fait d'accord, la recherche publique doit exister. Celà dit, on peut aussi dire qu'elle est l'outil de l'Etat blablablablabla...
C'est LE gros problème de la recherche, c'est que c'est en totale inadequation avec un système basé sur l'utilité et le profit (au sens large, pas forcément financier). La recherche, par essence, ne sert à rien, n'a pas de but autre que de chercher (et comme le dit un ami, chercheur en physique nucléaire à la retraite : "Un chercheur ne doit jamais trouver, sinon il se retrouve au chômage!"). La recherche fondamentale est encore plus inscrite dans ce schéma.

Edith: pourquoi Darhf il habite toulouse.gif?


Ce message a été modifié par PoP - 30/09/2004 18:51.

[rikausse]

Travaillant dans la recherche appliquée, je vais mettre mon petit grain de sel.

Le problème de la recherche appliquée ou fondamentale, c'est que le retour sur investissement ne se fait ni à court terme ni à moyen terme mais à très long terme (plus de 10 ans voire 20 ans des fois). Les sociétés n'ont donc pas la volonté d'en faire.
C'est donc à l'Etat de financer ces études non rentables.

Il faut donc qu'elle soit indépendante du secteur privé pour éviter la dérive de son but premier.

D'autre part, le problème des sociétés de haute technologie comme en Aéronautique ou en Automobile, c'est que de plus en plus elles externalisent leur recherche (plus généralement le département Recherche et Développement) soit par l'intermédiaire de sociétés de prestation soit à des organismes étatiques (dérive de leur but premier!). Dans les deux cas, elles ne voient pas qu'à long terme elles vont perdre leurs savoir-faire (les rapports techniques ne sont que des bouts de papier...).

Un exemple concret de la dérive du système : Ariane.
EADS (Airbus plus simplement) est devenu maitre d'oeuvre du projet tout en participant à sa réalisation. Chercher l'erreur : un rôle de superviseur joué par un de ceux qui réalise le projet. Avant cela c'était le CNES (Centre National d'Etudes Spatiales) qui jouait ce rôle, organisme indépendant français, il n'a plus qu'un rôle consultatif, c'est à dire peau de chagrin. Il ne sert finalement plus à rien. L'Agence Spatiale Européenne (ESA) serait plus à même de jouer ce rôle.
La recherche publique ne doit donc pas se limiter à la recherche fondamentale et appliquée mais doit aller un peu plus loin et s'impliquer plus en aval mais pas au niveau de la réalisation directe du projet...

Ce message a été modifié par rikausse - 30/09/2004 21:30.

[Darhf]

Edith: pourquoi Darhf il habite toulouse.gif?

Chais pas, mais j'aime bien

Ce message a été modifié par Darhf - 01/10/2004 9:37.