samedi dernier, je me baladais dans le rayon librairie de Leclerc lorsque tout à coup, je suis tombé sur un gros pavé intitulé "La saga des hommes dieux", de Philip Jose Farmer.
Ayant lu plusieurs fois "Le monde du fleuve" que je considère comme l'un des meilleurs romans (ou l'une des meilleures sagas, en fait) de science fiction qu'il m'ait été donné de lire, je prends la chose dans ma main, je la retourne et commence à lire la quatrième de couverture.
"La saga des hommes dieux" est donc une suite de sept romans, et le livre que ke tenais était en fait un recueil des quatre premiers d'entre eux, les trois derniers faisant l'objet d'un second volume.
le temps de rentrer chez moi, de lire mes autres achats (hikaru no go vol10, ranma 1/2 vol 1&2, ça va vite), et je me lance dans la lecture du premier roman, "Le faiseur d'univers".
Celui ci raconte l'histoire de Robert Wolff, retraité américain, qui tombe par hasard (enfin pas totalement par hasard, on s'en rendra compte par la suite) sur une porte interdimentionnelle alors qu'il visitait un pavillon en vu de l'acquérir.
Là, il découvre un monde construit comme une tour de babel, et peuplé d'etres etranges, semi-humains ou animaux. bien vite il se rend compte qu'il est en train de rajeunir, et se retrouve au bout de quelques semaines avec un corps de vingt cinq ans.
cependant, une pensée l'obsède: quel est ce monde? qu'y a-t-il aux etages supérieurs? et surtout, qui est ce mystérieux Seigneur dont tous les indigènes parlent? pourquoi a-t-il disparu depuis plusieurs dizaines d'années?
On retrouve dans ce roman un certain nombre de thèmes du monde du fleuve: l'immortalité, le vieillard retrouvant son corps de jeune homme, la tour renfermant bien des secrets, la rencontre de personne d'epoques différentes, et les hommes qui jouent à se prendre pour des dieux.
légèrement moins passionnant que le monde du fleuve, qui par ses personnages divers et variés et son immensité disposait d'une richesse difficilement égalable, ce roman est tout de même excellent. je viens de commencer le deuxième, qui a l'air assez différent dans sa construction. je referai une critique quand je l'aurai terminé. ou alors quand j'aurai terminé les quatre.